Dimensions Sculpture
Hauteur : 38 cm
Matière Bronze à patine brune
Style Figuratif contemporain
Description
Igor Mitoraj, sculpteur d’origine polonaise, né en 1944, a vécu de 1968 à sa mort entre Paris et Pietrasanta, en Italie.
Son œuvre a fait depuis lors l’objet de nombreuses expositions (France, Espagne, Allemagne, Italie, Etats Unis…), dont une absolument mémorable à Pompeii qui alliait antiquité et modernité.
En 1981, il réalise sa première sculpture monumentale Grand Toscano aujourd’hui à la Défense.
Depuis 1995, sa sculpture monumentaleThshuki-No-Ikari achetée par le British Museum, se trouve présentée devant la colonnade du célèbre Musée.
Depuis 1995, sa sculpture monumentaleThshuki-No-Ikari achetée par le British Museum, se trouve présentée devant la colonnade du célèbre Musée.
A Paris - la Défense, on peut admirer depuis 1997 la monumentale tête Tindaro, et depuis 2000, on peut admirer trois nouvelles sculptures Ikaria (Tour Adria), Ikaro (Tour Ernst & Young) et Centurion (Tour Fiat).
Depuis juin 2004, se dresse sur la place Saint Eloi à Angers, devant le nouveau Musée des Beaux Arts, Per Adriano, sculpture en bronze, acquise par la ville.
Depuis juin 2004, se dresse sur la place Saint Eloi à Angers, devant le nouveau Musée des Beaux Arts, Per Adriano, sculpture en bronze, acquise par la ville.
Claudio Malberti dans Igor Mitoraj Milan, 1986, nous parle en ces termes de l’œuvre de Igor Mitoraj
« Sa sculpture fixe l’attention exclusivement sur la figure humaine. Aucun autre intérêt, aucune autre disgression. Aucune concession aux artifices cérébraux, mais une sculpture essentielle, d’instinct, presqu’une nécessité expressive. Dans les sculptures complètes (en général des têtes), on admire la grâce virile du modelé (qui n’est pas une contradiction) et surtout les patines insolites et chargées d’une sensualité modérée mais palpitante. Dans les sculptures tronquées ou déchirées, au contraire, prévaut une dimension dramatique et dynamique. Ces déchirures dans les torses et dans les têtes, sont comme de grandes blessures béantes, qui sont là pour témoigner toute la fragilité et toute la précarité de l’existence humaine ».